A la recherche du beau, du bien et du vrai.
Ma vie pourrait se résumer à une quête volontaire et déterminée à la recherche de l'esthétique, de l'éthique et de la morale idéale.
L'éthique est pour moi reliée à la recherche de la vérité, l'esthétique à la recherche de la beauté et la morale à la recherche de la bonté.
Pourquoi cette recherche a structuré toute ma vie?
Très tôt je me suis demandé ce qui distingue l'humanité des autres espèces vivantes. Les tigres, les éléphants, les girafes ont certainement des qualités que nous n'avons pas. Mais il semblerait que nous soyons la seule espèce vivante à nous poser plus spécifiquement cette question du beau, du bien et du vrai.
La question de la vérité est évidemment reliée à la question de la science, la question de l'esthétique de la beauté est reliée à l'art. La question morale du bien est reliée à la question spirituelle du sens. Chaque culture humaine a sa propre manière d'articuler le beau, le bien et le vrai d'une façon singulière et unique.
J'aimerais raconter cette aventure extraordinaire, cette quête du grâle qui était pour moi la recherche du beau, du bien et du vrai.
Très tôt il m'est apparu que la manière d'aborder ces questions avait beaucoup évolué avec le temps. Par exemple on retrouve une esthétique, une éthique et une morale chez les différents peuples premiers mais cette question du beau, du bien et du vrai est bien sur abordée d'une manière tout à fait spécifique comparés à la manière dont ces questions sont posées dans les civilisations ultérieures dominées par des grandes religions et des organisations impériales territoriales. Les différentes formes de chamanismes se ressemblent comme les différentes grandes religions ont aussi des nombreux points en commun.
A partir de la Renaissance l'émergence de l'idée du progrès et de la modernité, la séparation de la science, de l'art et de la spiritualité crée un nouveau contexte qui permet l'autonomisation des individus des grandes religions. Les périodes que couvrent ces trois grands régimes de la relation humaine à la vérité, la beauté et la bonté sont très différentes. Un million d'années environ pour la période chamanique, dix mille ans pour la période plus spécifiquement religieuse, un siècle pour la période moderne.
Dans mon propre parcours personnel j'ai expérimenté le fait que les phases de développement que travers l'humanité se retrouve dans le cours de l'évolution personnel naturel. Dès mon plus jeun âge j'ai une expérience mystique de lien au tout très proche du chamanisme. Ensuite à partir de l'âge de raison, la religion prend le relais suite à l'éducation religieuse que je reçois. Avec l'adolescence l'éducation à la philosophie, la sensibilisation aux questions scientifiques est spécifiques de la modernité.
Au delà de la modernité j'ai vécut à partir des années 80 le plein déploiement de ce qui characterise le monde contemporain, la postmodernité ou l'hyper-modernité. Il est plus difficile de caractériser cette dernière période, car nous n'avons pas tout le recul souhaitable et nécessaire. La encore nous assistons à des ruptures fondamentales dans la manière de considérer le beau, le bien et le vrai.
Ma passion pour l'histoire mais aussi pour le présent et le futur m'ont amené à tenter de mieux comprendre ces différents registres de la connaissance tel qu'il se déploient dans le temps suivant des épistémologies très différentes.
Ma vie pourrait se résumer à une quête volontaire et déterminée à la recherche de l'esthétique, de l'éthique et de la morale idéale.
L'éthique est pour moi reliée à la recherche de la vérité, l'esthétique à la recherche de la beauté et la morale à la recherche de la bonté.
Pourquoi cette recherche a structuré toute ma vie?
Très tôt je me suis demandé ce qui distingue l'humanité des autres espèces vivantes. Les tigres, les éléphants, les girafes ont certainement des qualités que nous n'avons pas. Mais il semblerait que nous soyons la seule espèce vivante à nous poser plus spécifiquement cette question du beau, du bien et du vrai.
La question de la vérité est évidemment reliée à la question de la science, la question de l'esthétique de la beauté est reliée à l'art. La question morale du bien est reliée à la question spirituelle du sens. Chaque culture humaine a sa propre manière d'articuler le beau, le bien et le vrai d'une façon singulière et unique.
J'aimerais raconter cette aventure extraordinaire, cette quête du grâle qui était pour moi la recherche du beau, du bien et du vrai.
Très tôt il m'est apparu que la manière d'aborder ces questions avait beaucoup évolué avec le temps. Par exemple on retrouve une esthétique, une éthique et une morale chez les différents peuples premiers mais cette question du beau, du bien et du vrai est bien sur abordée d'une manière tout à fait spécifique comparés à la manière dont ces questions sont posées dans les civilisations ultérieures dominées par des grandes religions et des organisations impériales territoriales. Les différentes formes de chamanismes se ressemblent comme les différentes grandes religions ont aussi des nombreux points en commun.
A partir de la Renaissance l'émergence de l'idée du progrès et de la modernité, la séparation de la science, de l'art et de la spiritualité crée un nouveau contexte qui permet l'autonomisation des individus des grandes religions. Les périodes que couvrent ces trois grands régimes de la relation humaine à la vérité, la beauté et la bonté sont très différentes. Un million d'années environ pour la période chamanique, dix mille ans pour la période plus spécifiquement religieuse, un siècle pour la période moderne.
Dans mon propre parcours personnel j'ai expérimenté le fait que les phases de développement que travers l'humanité se retrouve dans le cours de l'évolution personnel naturel. Dès mon plus jeun âge j'ai une expérience mystique de lien au tout très proche du chamanisme. Ensuite à partir de l'âge de raison, la religion prend le relais suite à l'éducation religieuse que je reçois. Avec l'adolescence l'éducation à la philosophie, la sensibilisation aux questions scientifiques est spécifiques de la modernité.
Au delà de la modernité j'ai vécut à partir des années 80 le plein déploiement de ce qui characterise le monde contemporain, la postmodernité ou l'hyper-modernité. Il est plus difficile de caractériser cette dernière période, car nous n'avons pas tout le recul souhaitable et nécessaire. La encore nous assistons à des ruptures fondamentales dans la manière de considérer le beau, le bien et le vrai.
Ma passion pour l'histoire mais aussi pour le présent et le futur m'ont amené à tenter de mieux comprendre ces différents registres de la connaissance tel qu'il se déploient dans le temps suivant des épistémologies très différentes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire